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Je savais bien que je n'aurais jamais du accepter cette invitation. Surtout de la part de Ian, que je ne connaissais ni d'Ève ni d'Adam.
C'était un des gars les plus bizarre du collège – c'était à ce demander pourquoi j'avais accepté de passer l'après-midi chez lui. Personne n'a jamais compris pourquoi il était arrivé ici il y a maintenant un an. Ce type était vraiment chelou.
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Il faut dire que dans notre petit collège, il en effrayait plus d'un. Je crois que personne ne lui avait jamais vraiment parlé.
Lorsqu'il est arrivé dans notre village, personne ne le connaissait. Lui et sa famille se sont installé dans une grande villa dans un hamot à l'Est du village. Les rumeurs on alors jaillis de tout les côtés et l'une d'elle disait que George, le boucher du village, avait vu Ian arpenter les rues en plain milieu de la nuit, explorant chaque maison et chaque rue égarés.
J'ignorais totalement si cela était vrai, mais je savais instinctivement qu'il valait mieux se méfier de ses nouveau arrivant.
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Jusqu'au jour où Ian est arrivé au collège. Jamais je n'avais eu aussi peur de quelqu'un. Mais le pire était que j'ignorais totalement d'où venais cette angoisse étrange lorsque je me trouvais face à Ian.
* J'étais littéralement effrayé, je n'avais qu'une seule envie c'était de déguerpir le plus vite possible.*
Pourquoi avais-je accepté ?
Je n'étais vraiment qu'un idiot, tout ça pour ne pas rester seul une seule journée.
*Mes parents et ma sœur était allé au mariage d'un de mes nombreux oncles, seul inconvénient, ma cousine serait là. Cela n'aurait pas poser problème si elle ne me haïssais pas autant.*
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Elle était le genre de fille vêtue du jean et du Tee-Shirt de la dernière mode. Le genre de fille d'un égoïsme et d'une méchanceté écœurante.
*Pour ne pas aller à cette fête, j'avais abusivement supplier ma mère et celle-ci avait finalement céder à ma demande et m'avait laisser rester à la maison. Seul.*
Et c'est à se moment-là qu'est intervenu Ian. Après que ma famille soit partit il m'a passer un coup de fil et m'a simplement proposé de passer la fin de l'après midi avec lui.
Et, imaginant la journée ennuyante que j'allais passer, j'avais acquiesçais à sa proposition.
-Quel crétin !-
À présent je marchais à ses côtes sur le chemin exigu qui rejoignais son immense villa....